Aujourd’hui, on pense que le chocolat est rendu bénéfique par la présence de flavanols. Dans le chocolat noir, où le cacao représente 50 à 80 %, leur concentration est de 3,65 mg/g. Dans le chocolat au lait, où le cacao ne représente que 35 %, la teneur en flavanols est de 0,69 mg/g. Le chocolat blanc ne contient pas de flavanols. Par conséquent, tout en ayant approximativement la même (et très élevée) valeur énergétique, ces types de chocolat ont des effets différents sur la capacité de l’organisme à digérer les graisses et les sucres.
Le chocolat noir aide à maintenir le poids et réduit les facteurs de risque des maladies cardiométaboliques. Le chocolat au lait, sursaturé en sucre, est officiellement reconnu comme un « facteur de risque alimentaire établi pour les maladies cardiométaboliques ». Hélas, malgré un schéma évident, le chocolat noir ne peut être classé parmi les aliments médicinaux. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour bien comprendre ses effets sur l’organisme.